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Adyghee Le salon littéraire de l'ivresse des mots
Adyghee Le salon littéraire de l'ivresse des mots

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19 mars 2011

Lituanie juive 1918-1940 - Yves Plasseraud - Henri Minczeles

Des annnées 1950 aux années 1990, une chape de plomb est tombée sur la population litvake d'Union Soviétique rescapée de la Shoah. Les survivants gardèrent le silence sur leur histoire et sur leurs souffrances.

805419_gfCet ouvrage est le premier en France à restituer la parole oblitérée des héritiers d'une culture encore vivante, tirée aujourd'hui de l'oubli. Ces Juifs de "nulle part" dont parle Czelaw Milosz, ces esprits désireux d'être les témoins inflexibles de leur temps, qu'ils soient religieux ou séculiers, bundistes ou sionistes, yiddishistes ou hébraïsants, lettrés ou non, ont, durant des siècles, façonnées la "yiddishkayt" et marqué de leur empreinte toute une civilisation;

Ici s'exprime la richesse, la spécificité et les contradictions d'une communauté que le nzisme et ses collaborateurs ont fait sombres dans le néant.

La diversité des points de vue contrastés, et parfois même conflictuels, ne nuit en rien à cet hommage. Bien au contraire, elle le renforce.

Cet ouvrage a été dirigé par Yves Plasseraud et Henri Minceles. Parmi les auteurs : Alain Dieckhoff, Racher Ertel, Ugné Karvelis, Dov Levin, Itzhok Niborski.

 

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23 octobre 2010

Kvetch - Michaël Wex

kvetch "Kvetchen" : Le yiddish ou l’art de de se plaindre.

Retraçant ses origines, ses liens avec la religion, son évolution à travers le temps, l'auteur nous montre sur un mode ironique et politiquement ironique comment le yiddish permet, au quotidien, à ses locuteurs de se lamenter de tout : la nature, l'humanité, le sexe, la nourriture et même Dieu. 

 

Savant et jubilatoire, kvetch est bien plus qu’un recueil de jeux de mots ou d’histoires juives. Michael Wex invite à un voyage pétri d’humour et d’érudition au cœur de la culture juive. Il s'agit d'une véritable exploration de la culture ashkénaze, un hommage émouvant à un continent disparu et dont il importe de préserver la mémoire par la langue  et l'humour.

19 juillet 2010

Le livre des Lumières - Chaïm Potok

51SV9XFQ3AL__SL500_AA300_Avec le Livre des Lumières, Chaïm Potok pose la question fondamentale et de tous les temps : l'existence du mal dans le monde, du mal considéré en particulier comme souffrance injustifiée d'êtres innocents.

Son héros, Gershon Loran, jeune rebbe étudiant la Kabbale, dont l'adolescence a été bouleversée par la mort tragique de ses parents, est en quête d'un sens, d'une lumière au sein de ce chaos qu'est le monde brisé par les guerres, les destructions, la mort de tant d'innocents. Envoyé comme aumonnier militaire en Corée, Loran y sera rejoint par son ami Arthur Leiden, fils d'un grand physicien qui a contribué à la création de la bombe atomique et qui désire expier la faut de son père. La bombe devient le symbole même du mal : l'oeuvre de grands savants" qui ont tenu entre leurs mains la lumière du monde et n'ont livré à l'humanité qu'une lumière de mort". Loran et Leiden accomplissent un pélerinage au Japon. Là, Loran aura la plus cruciale de ses révélations.

Chaim_potokA propos de l'auteur :

Le talent de Chaïm Potok dans ce livre est d'avoir sur réactiver le symbolisme mystérieux de la Kabbale et par la force des images empruntées aux vieux textes, d'avoir insufflé une poésie cosmique à la tragédie de notre siècle.

La célébrité de Chaïm Potok tient à ses romans : Au Commencement. Je m'appelle Asher Lev et le Don d'Asher Lev. La Harpe de Davita. Le livre des Lumières. La promesse (que nous avons tous dévoré bien évidemment et dont je mettrais les histoires et nos impressions plus avant dans le blog).

Ordonné Rebbe en 1954, il a servi comme Aumonier dans l'armée Américaine en Corée. Pendant plusieurs années, il a été Rédacteur en Chef de la Jewish Publication Society of America.

6 juin 2010

Theodor Herzl - Serge-Allan Rozemblum

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Quatrième de couverture :

Ecrivain et homme d'action, né en 1860 en Hongrie, Theodor Herzl est la figure emblématique du mouvement sioniste.

Journaliste, correspondant à Paris du prestigieux quotidien viennois Neue Freie Presse, Herzl assiste au procès du capitaine Dreyfus dans une époque marquée par la recrudescence de l'antisémitisme allemand et des pogroms en Russie.

Avec la publication en 1896 de l'Etat des Juifs, puis l'organisation du premier congrès sioniste à Bâle un an plus tard, Theodor Herzl lance le long processus qui aboutit en mai 1948 à la proclamation de l'Etat d'Israël.

Homme d'Etat sans Etat, il défend son projet dans toute l'Europe, à la recherche d'appuis politiques et financiers. Reçu par les plus hautes autorités de l'Empire Ottoman et par Guillaume I, il fait le siège des représentants influents de la communauté juive européenne.

Dans cette biographie minutieuse, après une longue enquête aux Centre des Archives Sionistes de Jérusalem, Serge-Allan Rozenblum retrace la vie passionnée de Herzl à travers une lecture jusque-là inédite de son abondante correspondance, de ses journaux, de ses notes, et des témoignages de ses contemporains.

Il révèle un personnage d'une grande culture, auteur de nombreuses pièces de théâtre, romancier, poète qui rêvait d'une "Palestine idéale reconquise sur les déserts et les rochers".

Herzl meurt épuisé, le 03 juillet 1904, après quelques années d'un engagement sans répit.

 

Mon avis : Volodia

Si l'on connait tous le nom de Theodor Herzl, on n'en connait pas pour autant sa vie et ses motivations. J'ai beaucoup appris de ce livre. Sur cet homme qui était pour son époque un utopiste et pour ce qui s'est passé par la suite... un visionnaire. Car combien était conscient de leur sort de juif , ceux d'Europe Centrale, mais combien l'avait oublié comme ceux d'Europe y compris de l'Est.

Les pogroms incessants en Galicie, en Lithuanie, en Pologne, en Ruthénie carpatique et en Russie faisaient qu'au lieu de se fondre dans la population, la plupart de ces juifs (pauvres très souvent) vivaient en complète autarcie, en marge du pays ou il résidait. Faisant un Etat dans l'Etat complètement hermétique au monde extérieur. D'un autre côté, même s'ils l'avaient voulu, et pour certains qui essayaient de "s'assimiler" on ne leur en laissait pas le temps, promulgation de lois restrictives en ce qui concernait le lieu de résidence (en Russie), les quotas d'acceptation des élèves en cours supérieurs (toujours en Russie et peut être ailleurs ?), leur nom aussi, rendait toute intégration impossible.

Pour les "goys", les juifs formaient une masse  compacte, sale, indésirable, parlant un jargon incompréhensible et vivant la plupart du temps de la grande générosité du souverain en titre et de son peuple... Ils ne pouvaient être considéré comme un peuple puisque sans pays, sans patrie, n'obéissant qu'à une seule loi, celle de la torah et qu'à un seul livre le Talmud.

Par ailleurs, ils n'avaient pas non plus d'armée et que peut faire un peuple sans  armée pour le défendre sinon subir ou fuir, (errer d'un pays à l'autre), les taxes imposées par leur condition ?

Il est important de se remettre dans le contexte de l'époque et de celui qui va suivre pour comprendre le pourquoi de l'Etat d'Israël. Si à l'époque les juifs avaient eu un pays y aurait il eu autant de pogroms ? y aurait-il eu des camps d'extermination ? où tous les pays européens savaient, mais où tous ont préféré fermer les yeux et les oreilles pour ne pas voir, ni surtout entendre les plaintes d'un peuple arrivé à bout d'humiliations et de souffrances. 

4 avril 2010

L'or de la terre promise - Henry Roth

9782246160731Quel est le chef d'oeuvre de la littérature juive des EtatsUnis ? Des milliers de lecteurs ont répondu : l'Or de la Terre Promise. L'un des plus grands succès de toute l'histoire de la littérature américaine, en effet. on a pleuré au Nouveau Monde à lire l'histoire de David Schearl, petit garçon débarqué à New York avec ses parents, juifs d'Europe Centrale, et plongé dans la vie sinistre des bas quartiers de la métropole.

Tout le roman est vu  travers les yeux de cet enfant nerveux, angoissé. L'or de la Terre Promise allie la description féroce du prolétariat cosmopolyte à New York au lyrisme propre à une inspiration inquiète, qui transfigure les évènements les plus sordides en aventures tour à tour merveilleuses ou terrifiantes.

Protégé par sa mère, dont la figure inoubliable enveloppe de tendresse et de générosité ce roman cruel, le petit David n'en fait pas moins l'apprentissage de la misère, de la méchanceté et de la sottise, entre un père morose et violent, une tante vulgaire, un rabbin répugnant et pitoyable, des camarades brutaux, obsédés par le sexe.

Loin d'être la démonstration d'une idée politique ou le procès du paupérisme, l'Or de la Terre promise est le cauchemar éveillé d'une jeune émigrant juif, c'est-à-dire, un roman qui allie selon les mots du critique américain Irving Howe, le réalisme le plus froid à la fantasmagorie la plus débridée.

A propos de l'auteur :

Henry Roth est né en 1906 dans l'ancien Empire Hongrois. A deux ans il part, avec ses parents, pour les Etats Unis : Brooklin, East Side, Harlem. Cette migration lui permet de se frotter aux formidables diasporas de juifs, d'Irlandais, d'Italiens, qui sont au coeur de l'Or de la Terre Promise. Ce roman publié en 1933 passe inaperçu. Réédité en 1960, l'Amérique puis l'Europe le découvrent et c'est le triomphe.

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1 mars 2010

Célébration hassidique - Elie Wiesel

C_l_bration_hassidiqueLe hassidisme, ce mouvement qui est né au XVIIIè siècle dans le peuple juif dispersé aux confins de l'Europe centrale et orientale, n'a constitué ni une doctrine ni une idéologie. Il a été avant tout une façon d'être, de voir, et de vivrre.

Au départ, un visionnaire solitaire : Israël Baal Shem-Tov, le Maître du bon nom. Aux juifs opprimés par des siècles de persécution, il lance un étonnant appel à la joie. Et ses disciples, le grand Maguid, Levi-Yitzhak de Berditchev, Israël de Rizhin ou Rabbi Nahman de Bratzlav, à travers un étrange réseau de communications et de successions, vont surgir ici et là, susciter les enthousiasmes, animer les communautés.

Leur histoire, leurs histoires, se sont inscrites dans les coeurs, et transmises de groupe en groupe et d'homme à homme. Et Elie Wiesel, enfant à Szeged (Hongrie), dans les toutes dernières années précédant la guerre qui allait voir anéantir ces mêmes communautés, écoutait, à la veillée du Shabbat, les vieillards parler de leurs Rabbis, et son grand-père évoquer la mémoire de ces hommes qui trouvaient Dieu non dans la pénitence mais dans la célébration.

A son tour, Elie Wiesel transmet aujourd'hui ce qu'il a reçu, aussi fidèlement que possible, mais avec ferveur, et en y prêtant sa voix et son accent. Car le Hassidisme est une flamme qui brûle toujours, pour lui et pour beaucoup.

13 février 2010

Le monde extérieur - Tova Mirvis

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Quatrième de couverture :

Tzippy Goldman devrait être mariée depuis longtemps.Lorsqu'on a 22 ans et qu'on vit dans la communauté juive ultra-orthodoxe de Brooklyn, il est déjà presque trop tard. C'est ce que pense sa mère, qui passe son temps à lui organiser des rendez-vous.Tant de sollicitations poussent Tzippy à partir étudier un an en Israël, dans l'espoir d'y trouver la liberté dont elle rêve.

Les Miller, des "orthodoxes modernes", ne reconnaissent plus leur fils Bryan après ses deux années passées dans une yeshiva en Israël, Bryan - ou plutôt Baruch -, est devenu un religieux fervent et désapprouve leur mode de vie, trop laxiste. Il refuse d'entrer à l'université et décide de se consacrer au Talmud.

A Jérusalem, Tzippy rencontre Baruch. Ils tombent amoureux, décident de se marier. De retour chez eux, ils apprennent bien vite que face à la réalité du monde extérieur ils doivent inventer le leur. Ils y parviendront, à condition que leurs familles envahissantes relâchent leur emprise. Car, plus encore que des coutumes religieuses, c'est des lubies de leurs parents qu'ils doivent se méfier.

Editions : de l'Olivier - ISBN : 2879294282 - Broché : 364 pages - Prix : 21,30 euros

Mon avis : Volodia

Le Monde Extérieur est une comédie de moeurs où se confrontent aspirations traditionnelles, désir d'accomplissement et société moderne. Un traite du libre arbitre touchant et juste, à travers lequel Tova Mirvis propose avec humour, sa vision de l'Amérique Contemporaine.

Tova Mirvis a grandi dans la communauté juive ultra-orthodoxe de Memphis, Tennessee. Son premier roman The Ladies Auxiliary, a rencontré un très grand succès lors de sa parution en 1999 aux Etats-Unis. Elle est diplômé de Columbia University, et vit prêt de Boston.

 

13 février 2010

Yossik - Joseph Bulov

009__2___704x1024_Quatrième de couverture :

Une enfance dans le quartier du Vieux-Marché de Vilna (Lituanie, 1904-1920).

La mort en 1985 de Joseph Bulov, le légendaire animateur du Théâtre Juif de New Yord, laisssait dans ses papiers ce récit inédit - considéré aujourd'hui comme l'un des maître-livres de la littérature yiddish de ce siècle.

Il y évoque les heurs et malheurs de ses jeunes années - celles d'un chenapan fameusement débrouillard - dans les sombres ruelles du ghetto de Vilna (Vilnius, Lituannie). Mais alors que l'on pourrait s'attendre à un récit pleurant misère - car la vie n'était pas rose à l'ombre du "Vieux Marché" au début de ce siècle -, c'est à un feu d'artifice picaresque que nous sommes conviés.

Les amateurs d'histoires juives seront comblés; et tout autant ceux qui se plaisent à voir revivre les fastes exemplaires de la glorieuse canaillerie des bas-fonds : ce creuset d'impertinence, de poésie et de sagesse où la littérature, depuis les milles et une nuits et François Villon jusqu'à Isaac Bashevis Singer et Albert Cohen, a puisé avec générosité.

Le livre de Bulov - roman autobiographie, récit "ethnographique" sciement dévoyé - clame bien haut sa bâtardise. Qu'en dire d'autre, sinon que c'est drôle, que c'est triste (comme Charlot), et qu'on oublie de s'y ennuyer ?

Editions : Phébus - ISBN :  9782859404116 - Broché : 464 pages - Prix : 23,05 €

Mon avis : Volodia

J'ai beaucoup aimé ce livre car à travers ce récit, se reflète le passé de nombreuses familles venant de "l'Est". On y trouve également tous les événements politiques de cette époque qui sont peut être méconnus à l'Ouest.

Ces pays et ces provinces Polonaises, devenant Russes, puis Autrichiennes pour redevenir Russes, ou Polonaises. Ce peuple ballotté comme un fardeau d'un état politique à un autre mais toujours détesté et considéré comme une calamité par celui qui en hérite.

Mais toujours la foi renaît ainsi que la faculté d'adaptation aux événements quels qu'ils soient. Par contre mon humour m'a fait défaut pour apprécier certaines situations  que le lecteur aurait du trouver drôle et/ou cocasses .

3 février 2010

Les oubliés du Shtetl - Yiddishland de Y.L. Peretz

45_1_150Les oubliés du Shtetl nous emmène en terre yiddish nous faisant découvrir cette société méconnue, sans Etat et sans armée, totalement éradiquée par la terreur nazie.

Un des grands mérites de ces chroniques, extrêment vivantes, est de nous révéler que ces communautés n'étaient pas monotithiques mais traversées par des rivalités, expressions de combats d'idées dans une vitalité de parole. Nous rencontrons ainsi les descendants des "éclairantistes", fils et filles des "lumières" ou Haskala, juifs athées, s'opposant avec vigueur aux rabbins orthodoxes qui se tenaient à distance des cours hassidiques influencés par les cercles de kabbalistes et divisés eux-mêmes sur l'interprétation de la Torah. Les hassidim, malgré leur hauteur religieuse, ne s'interdisaient pas de dialoguer, voire de polémiquer avec ces "éclairantistes" anticléricaux qui prônaient souvent un athéisme intégral.

Terre Humaine, dont on sait le combat en faveur des minorités, un des levains de l'histoire, se devait de publier ces chroniques de grande valeur littéraire. Elles nous permettent de découvrir une culture de langue yiddish, imprégnée d'influences allemandes, polonaises et russses. Parallèlement, se révèle une histoire infiniment plus complexe de la Pologne et de l'Europe Centrale. De grands courants de pensées aussi essentiels, à replacer dans leur origine que la psychanalyse ou l'anthropologie en sont directiment issus. Le Bund, mouvement de socialisme ouvrier est né de ces shtetl. Ces chroniques sont des scènes vues avec des descriptions inouliables d'un humour juif légendaire.

Les oubliés du Shtetl est un lire rare, une petite encyclopédie de la société yiddish. Il participe à un devoir de mémoire, de réhabilitation et de justice.

Né en 1851 à Zamosc, en Pologne, Y.L.  Peretz est l'un des plus grands écrivains de langue yiddish. En 1890, il se livre à une enquête approfondie sur les shtetl qui sera ultérieurement interdite par le Tsar. La publication de cette chronique d'une "mission impossible" est une première en France. Il demeure l'un des principaux fondateurs de la littérature yiddish moderne.

 

3 février 2010

Petites étincelles de sagesse juive - Victor Malka

9782226178497"Il en est qui pensent qu'il est difficile d'arriver à être un ange. En vérité, ce qui est difficile c'est d'arriver à être un homme".

C'est par le partage de telles pensées, autant que par l'étude des textes, que se transmet la sagesse juive.

Dans cette petite anthologie, Victor Malka nous fait découvrir cette littérature orale, au plein sens du terme, qui nous éclaire avec légèreté sur les grandes questions de la vie : justice, miséricorde, prière, rires et larmes, aventure spirituelle... Les pères de la tradition juive, des maître du Talmud aux rebbes hassidiques en passant par les philosophes espagnols se sont penchés sur ces thèmes pour proposer à leurs fidèles ces préceptes de vie.

Aujourd'hui encore, dans toutes les synagogues du monde, ces paroles sont répétées et commentées au gré de l'heure et de l'humeur, comme on se transmettrait, dans la crainte et le tremblement des braises ardentes.

 

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